A la suite de mon déplacement au Gabon, j’ai poursuivi ma tournée en Afrique par un séjour en République du Congo, où je me suis rendue à Pointe-Noire, la capitale économique du pays, puis à Brazzaville, la capitale administrative.
A Pointe-Noire d’abord, j’ai rencontré les conseillers des Français de l’étranger, Madame Anne Boulo et Monsieur Cyril Changarnier avec lesquels nous avons fait un tour d’horizon des préoccupations qui occupent les Français du Congo dans la période. Je tiens à les remercier chaleureusement pour ces échanges fructueux et utiles.
En complément de ces remontées de terrain des élus, j’ai consacré plusieurs autres séquences à la vie de nos compatriotes sur place, à leurs difficultés, leurs inquiétudes, leurs questions. D’abord, lors d’une réunion de travail avec le consul et ses agents, puis avec les responsables du tissu associatif qui oeuvre en direction des Français, dont l’association d’entraide qui est un acteur essentiel de la solidarité en faveur des plus démunis et enfin lors d’une permanence parlementaire.
Comme à chacune de mes étapes en circonscription, j’ai également consacré un large temps à la visite du lycée français Charlemagne qui accueille des classes de la maternelle jusqu’à la terminale. Après avoir découvert les locaux de l’école primaire et du lycée, j’ai pu m’entretenir avec les enseignants mais également échanger avec les lycéens sur leur projet, leur ambition et sur le sens de l’engagement citoyen et associatif.
Enfin, j’ai conclu ce séjour à Pointe-Noire, comme il se devait, par un échange avec des représentants de groupes et d’entrepreneurs français installés dans cette ville qui constitue le véritable poumon économique du Congo.
Après Pointe-Noire, j’ai donc séjourné à Brazzaville. Une énergie incroyable s’y dégage et la communauté française sur place est à cette image, à commencer par mon ami l’infatigable René Marini, Conseiller des Français de l’étranger.
J’ai débuté cette étape par une séquence éducative avec la visite du lycée français Saint-Exupéry en présence de son proviseur, Monsieur Paul Dorville et du Conseiller de coopération d’action culturelle Monsieur Vignacq que je remercie chaleureusement. J’ai eu l’occasion d’y rencontrer des classes de primaire en pleine activité mais également des collégiens et des lycéens qui ont eu à coeur de me présenter leurs projets associatifs et avec lesquels nous avons abordé les enjeux d’égalité des chances.
Comme à Pointe-Noire, j’ai consacré plusieurs réunions à la vie et aux difficultés des Français sur place, avec les agents du Consulat, le médecin chef du Centre médico social, le tissu associatif et enfin lors de ma permanence parlementaire.
J’ai ensuite assisté à un moment d’échanges convivial organisé par l’Ambassade de France en présence de la communauté d’affaires.
J’ai participé à un petit déjeuner organisé par le club Congo France Numérique qui accompagne des entreprises congolaises spécialisées dans le numérique.
Je remercie le bureau local de l’Agence française de développement, ainsi que son directeur Maurizio Cascioli et ses équipes, de m’avoir accueillie pour faire un point sur les projets en cours au Congo et la richesse du partenariat que l’Agence à tisser avec les partenaires locaux. Je suis aussi particulièrement ravie que nous ayons pu à cette occasion faire le bilan des activités de l’incubateur Les Premières, en partie financées par l’AFD, qui accompagne des femmes entrepreneurs dans la concrétisation de leur projet.
Avec le collectif TOSALA, nous avons tenu une réunion de travail sur l’accès et la protection des droits des femmes et évoquer de beaux projets futurs de plaidoyer.
J’ai eu l’immense honneur d’être reçue par d’anciens combattants au foyer des anciens combattants de Bacongo puis par la section congolaise des membres de la Légion d’honneur. Créé en 2015, elle compte une trentaine de membres sur la centaine de Congolais qui ont reçu cette décoration.
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