
Une députée issue de la société civile, engagée à vos côtés
Membre apparenté du groupe parlementaire Ensemble pour la République ! Amélia LAKRAFI est la députée de la 10ème circonscription des Français établis hors de France regroupant 49 pays de l’Afrique australe, centrale, orientale, des iles de l’Océan Indien et du Moyen-Orient.
Née le 20 Mars 1978 et mère d’une jeune femme, Amélia LAKRAFI est issue de la société civile. Entrepreneure dans l’âme, elle a à son actif la création et la direction de plusieurs entreprises.
Diplômée en 2015 de l’Institut National des Hautes Études de Sécurité et de Justice – INHESJ – à l’Ecole Militaire, Amélia devient experte en Intelligence Économique, Sécurité et Sureté des entreprises.
Forte de cette qualification et de son expérience de terrain, elle fonde et préside la société AZGUARD, spécialisée en conseil et formation en cyber-sécurité et intelligence économique. Innovatrice, sa société propose notamment une solution inédite d’authentification forte par biométrie comportementale.
En 2015, elle décide de s’engager et de mettre ses compétences à disposition de la sécurité des Français dans la Réserve Citoyenne Cyberdéfense, où elle obtient le grade de Commandant.
Elue pour un premier mandat de députée en 2017, Amélia LAKRAFI devient membre de la Commission des Affaires étrangères. Elle y occupe depuis 2024 le poste de porte parole pour le groupe Ensemble pour la République.
Entre 2017 et 2022, son mandat de députée la mène à siéger au sein du Conseil d’administration de l’Agence française de Développement (AFD) où elle s’est particulièrement investie pour porter notamment le principe d’une plus grande efficacité et d’une meilleure visibilité des actions engagées par la France au moyen de ce levier.Très investie sur le sujet du commerce extérieur de la France, de l’export et du rayonnement à l’international de nos entreprises, elle est rapporteure budgétaire pour avis à deux reprises, en 2020 et 2021, dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances, sur les crédits du commerce extérieur et de la diplomatie économique de la France.
Investie dans le Grenelle des violences conjugales lancée en 2019 par l’ancienne ministre chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, elle y entreprend un travail de fond sur l’amélioration de l’accompagnement des Françaises victimes de violences conjugales à l’étranger. Ce travail réalisé en mobilisant les acteurs de la sphère publique et administrative, du monde de l’entreprise et du secteur associatif, a donnée lieu à des actions très concrètes de prise en charge des victimes, aujourd’hui incluses de la stratégie de diplomatie féministe portée par le ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.
Réélue en juin 2022 puis en 2024 à la suite de la décision du président de la République de dissoudre l’Assemblée nationale, elle poursuit ses engagements en faveur d’une meilleure prise en compte des difficultés et préoccupations relayées par les Français établis hors de France sur le terrain. Elle travaille notamment à une proposition de loi balayant très largement les différents éléments qui peuvent être l’objet d’une amélioration pour nos compatriotes de l’étranger, tels que l’accès aux droits bancaires en France, le financement associatif à l’étranger ou l’accompagnement des plus vulnérables.
Pleinement convaincue de l’apport de la diplomatie parlementaire dans un ordre mondial bousculé, elle s’est toujours attachée depuis 2017 à cultiver un dialogue régulier mais néanmoins exigeant avec l’ensemble des pays de sa circonscription, en particulier sur la question de la place des femmes, afin de faire émerger des objectifs communs de consolidation de leurs droits. Elle a également pu oeuvrer dans ce domaine dans le cadre des activités des différents groupe d’amitié parlementaire au sein desquels elle a siégé et qu’elle a présidé : le groupe d’amitié France-Emirats arabes unis puis France-Arabie saoudite. Depuis mars 2025, elle perpétue cet engagement en faveur du dialogue et du multilatéralisme en tant que Déléguée générale de l’Assemblée parlementaire de la Francophonie, instance qui rassemble à ce jour 99 Parlements francophones autour des valeurs de paix et d’émancipation portée par cette langue en partage.
Dans le cadre d’une mission d’information conduite dans le cadre des travaux de la Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale, elle présente en juin 2025 un rapport très attendu sur l’avenir de la Francophonie, fruit de presque 2 ans de travail et près de 300 auditions, dans lequel sont formulées 40 recommandations.